CARTABLE DE POLITIQUES
Introduction
La politique provinciale adoptée en matière de services de santé mentale, ainsi que son cadre législatif, vise la participation active des personnes aux prises avec une maladie mentale au processus de rétablissement. Un élément important de ce processus consiste en l'accessibilité à des activités de soutien social, d'entraide, loisirs et de revendication. Les centres d'activités ont pour mandat de donner aux personnes aux prises avec une maladie mentale la possibilité d'accéder à de telles activités.
Les présentes lignes directrices décrit les valeurs fondamentales qui sous-tendent le fonctionnement des centres d'activités, définit les objectifs à atteindre et fournit des lignes directrices opérationnelles.
Valeurs
Les centres d'activités doivent chercher d’atteindre les objectifs suivants:
Lignes directrices
Les centres d'activités sont des entités autonomes, dotées de leurs propres conseils d'administration. Les conseils d'administration établissent leurs propres règlements internes et leurs propres lignes directrices opérationnelles de manière à compléter les présentes:
1. Les conseils d'administrations gérés par les personnes aux prises avec une maladie mentale se composent majoritairement (50% + 1) de personnes aux prises avec une maladie mentale bénévoles et peuvent augmenter ce pourcentage s’il le juge convenable.
2. Le centre des services de la santé mentale de la régie régionale offre le support pour couvrir les frais de démarrage et de fonctionnement de base et le ministère de Sante se financée des centres d'activités. Les demandes de financement doivent être présentées chaque année conformément aux modalités prescrites dans les « Lignes directrices pour les organismes extérieurs qui demandent aux Services de santé mentale de financer des initiatives d'entraide ». Les centres d'activités sont encouragés à compléter leur subvention publique en organisant leurs propres collectes de fonds.
3. Les centres d'activités doivent soumettre un rapport annuel de leurs dépenses au directeur ou à la directrice du Centre des services de santé mentale communautaires.
4. Un contrat pour l'achat de services doit être signé avant le 28 février de chaque année entre le Centre des services de santé mentale communautaire et le conseil d'administration du centre d'activités en question.
5. Le directeur ou la directrice générale d'un centre d'activités devrait être un ou une personne aux prises avec une maladie mentale en santé mentale ou un membre de la famille d’un ou une personne aux prises avec une maladie mentale. Suite à l'embauche, il y aura une période d’essaie pendant les six premiers mois. Toutefois, les directeurs ou les directrices qui occupent le poste actuels et qui ne sont pas des personnes aux prises avec une maladie mentale peuvent conserver leurs postes.
6. Une formation et de l'expérience ou être disposés à être formés dans les domaines suivants: travail au sein d’un conseil d'administration, animation de groupes, communication efficace, détermination des besoins des personnes aux prises avec une maladie mentale, organisation d'activités, tenue de livres, collecte de fonds, intervention non violente en cas de crise et premiers soins sont un atout pour les personnes aux prises avec une maladie mentale qui sont embauchés auprès d’un centre d’activités.
7. Suite à une demande écrite provenant du conseil d'administration /ou du directeur ou la directrice d'un centre d'activités, les Centres de santé mentale communautaires devra fournir le support afin d’aider le conseil et/ou le directeur ou la directrice d’accéder à la formation nécessaire. (Comme mentionne à No. 6)
8a). Les centres d'activités sont ouverts à tous les personnes aux prises avec une maladie mentale qui désirent en devenir membres. Toutefois un centre peut, à sa discrétion, restreindre l'accès des personnes dont le comportement est contradictoire aux politiques du centre.
8b) Les personnes pour qui leurs besoins et habiletés sont au-delà de ce que le personnel du centre d’activités peut offrir, peuvent demander à la direction du CSMC pour de l’aide.
9. Où le bail le permet et que les mesures de sécurités sont adressées, les centres d'activités sont encouragés à mettre leurs locaux à la disposition des groupes d'entraide qui ont pour but des rencontres qui reflètent les objectifs et valeurs des centres d’activités.
10. Les conseils d'administrations devraient encourager la directive à leurs directeurs ou leur directrices de participer aux réunions provinciales qui se tiennent bi-annuellement du RCASMNB. Les conseils d’administrations doivent allouer assez d’argent de leurs budgets annuel à cette fin. En plus, la présence du directeur ou de la directrice générale à la réunion annuelle du Réseau des personnes aux prises avec une maladie mentale en santé mentale du Nouveau-Brunswick est fortement recommandée.
11. Les centres d'activités sont encouragés à organiser des activités non seulement sur place mais aussi dans leurs communautés.
12. Les programmes des centres d'activités doivent être variés et doivent chercher à répondre aux différents besoins des personnes aux prises avec une maladie mentale telles que les loisirs, la sensibilisation et / ou les activités de revendication.
13. Lorsque leurs ressources sont suffisantes, les centres d'activités sont encouragés à développer de la programmation vocationnelle.
Introduction
La politique provinciale adoptée en matière de services de santé mentale, ainsi que son cadre législatif, vise la participation active des personnes aux prises avec une maladie mentale au processus de rétablissement. Un élément important de ce processus consiste en l'accessibilité à des activités de soutien social, d'entraide, loisirs et de revendication. Les centres d'activités ont pour mandat de donner aux personnes aux prises avec une maladie mentale la possibilité d'accéder à de telles activités.
Les présentes lignes directrices décrit les valeurs fondamentales qui sous-tendent le fonctionnement des centres d'activités, définit les objectifs à atteindre et fournit des lignes directrices opérationnelles.
Valeurs
- L'accès à des activités de soutien social, d'entraide, de loisirs et de revendication sont des ingrédients essentiel au processus de rétablissement.
- Les centres d'activités sont un élément clé dans les préventions de rechutes à l’intérieur d’un réseau de soutien.
- Les personnes aux prises avec une maladie mentale dirigent et gèrent les centres d'activités.
- Les centres d'activités complimentent le système formel de prestation de services.
Les centres d'activités doivent chercher d’atteindre les objectifs suivants:
- offrir aux personnes aux prises avec une maladie mentale un lieu leur permettant de se rencontrer, d'échanger des idées et de développer un sentiment d'appartenance;
- offrir aux personnes aux prises avec une maladie mentale la possibilité de participer à des activités pouvant les aider à améliorer leur bien-être et leur estime de soi;
- favoriser l'intégration communautaire;
- aider les personnes aux prises avec une maladie mentale d’accéder aux ressources communautaires;
- où possible, sensibiliser le grand public et les fournisseurs de services aux besoins de ceux et celles ayant des troubles de santé mentale.
Lignes directrices
Les centres d'activités sont des entités autonomes, dotées de leurs propres conseils d'administration. Les conseils d'administration établissent leurs propres règlements internes et leurs propres lignes directrices opérationnelles de manière à compléter les présentes:
1. Les conseils d'administrations gérés par les personnes aux prises avec une maladie mentale se composent majoritairement (50% + 1) de personnes aux prises avec une maladie mentale bénévoles et peuvent augmenter ce pourcentage s’il le juge convenable.
2. Le centre des services de la santé mentale de la régie régionale offre le support pour couvrir les frais de démarrage et de fonctionnement de base et le ministère de Sante se financée des centres d'activités. Les demandes de financement doivent être présentées chaque année conformément aux modalités prescrites dans les « Lignes directrices pour les organismes extérieurs qui demandent aux Services de santé mentale de financer des initiatives d'entraide ». Les centres d'activités sont encouragés à compléter leur subvention publique en organisant leurs propres collectes de fonds.
3. Les centres d'activités doivent soumettre un rapport annuel de leurs dépenses au directeur ou à la directrice du Centre des services de santé mentale communautaires.
4. Un contrat pour l'achat de services doit être signé avant le 28 février de chaque année entre le Centre des services de santé mentale communautaire et le conseil d'administration du centre d'activités en question.
5. Le directeur ou la directrice générale d'un centre d'activités devrait être un ou une personne aux prises avec une maladie mentale en santé mentale ou un membre de la famille d’un ou une personne aux prises avec une maladie mentale. Suite à l'embauche, il y aura une période d’essaie pendant les six premiers mois. Toutefois, les directeurs ou les directrices qui occupent le poste actuels et qui ne sont pas des personnes aux prises avec une maladie mentale peuvent conserver leurs postes.
6. Une formation et de l'expérience ou être disposés à être formés dans les domaines suivants: travail au sein d’un conseil d'administration, animation de groupes, communication efficace, détermination des besoins des personnes aux prises avec une maladie mentale, organisation d'activités, tenue de livres, collecte de fonds, intervention non violente en cas de crise et premiers soins sont un atout pour les personnes aux prises avec une maladie mentale qui sont embauchés auprès d’un centre d’activités.
7. Suite à une demande écrite provenant du conseil d'administration /ou du directeur ou la directrice d'un centre d'activités, les Centres de santé mentale communautaires devra fournir le support afin d’aider le conseil et/ou le directeur ou la directrice d’accéder à la formation nécessaire. (Comme mentionne à No. 6)
8a). Les centres d'activités sont ouverts à tous les personnes aux prises avec une maladie mentale qui désirent en devenir membres. Toutefois un centre peut, à sa discrétion, restreindre l'accès des personnes dont le comportement est contradictoire aux politiques du centre.
8b) Les personnes pour qui leurs besoins et habiletés sont au-delà de ce que le personnel du centre d’activités peut offrir, peuvent demander à la direction du CSMC pour de l’aide.
9. Où le bail le permet et que les mesures de sécurités sont adressées, les centres d'activités sont encouragés à mettre leurs locaux à la disposition des groupes d'entraide qui ont pour but des rencontres qui reflètent les objectifs et valeurs des centres d’activités.
10. Les conseils d'administrations devraient encourager la directive à leurs directeurs ou leur directrices de participer aux réunions provinciales qui se tiennent bi-annuellement du RCASMNB. Les conseils d’administrations doivent allouer assez d’argent de leurs budgets annuel à cette fin. En plus, la présence du directeur ou de la directrice générale à la réunion annuelle du Réseau des personnes aux prises avec une maladie mentale en santé mentale du Nouveau-Brunswick est fortement recommandée.
11. Les centres d'activités sont encouragés à organiser des activités non seulement sur place mais aussi dans leurs communautés.
12. Les programmes des centres d'activités doivent être variés et doivent chercher à répondre aux différents besoins des personnes aux prises avec une maladie mentale telles que les loisirs, la sensibilisation et / ou les activités de revendication.
13. Lorsque leurs ressources sont suffisantes, les centres d'activités sont encouragés à développer de la programmation vocationnelle.
- Les directeurs et les directrices des centres d’activités sont encouragé de se éduquer aux mouvements des personnes aux prises avec une maladie mentale / survivants en santé mentale aux autres endroits du Canada et ailleurs.